26/12/2013

EN COHÉRENCE AVEC LES ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX Depuis Mars 2013 VOG s'implique également dans la Qualité de l'Air


Ventilation et assainissement des locaux de travail
Beaucoup d'activités professionnelles nécessitent l'installation d'un système de ventilation. Le dispositif est utile à ceux qui œuvrent dans des milieux où l'on rencontre des poussières de bois, de ciment, de farine, de coton, de solvants, de fibres, etc. La pollution de l'air ambiant peut affecter gravement la santé des salariés mais aussi avoir des conséquences dommageables pour la production et l'environnement
Si aucun procédé ne permet d'éviter ou de limiter la pollution, il faut utiliser la ventilation adéquate. 

Elle devra répondre à quelques grands principes : 
- d'abord capter à la source, ce qui permet d'une part d'éviter la dispersion des polluants, leur inhalation et d'autre part de ne transporter et ne traiter que de faibles volumes d'air pollué. 
- Ensuite compenser les volumes d'air évacués par un apport d'air neuf. 
- Et enfin, contrôler et entretenir les installations pour assurer durablement l'assainissement de l'air des locaux de travail.

Source :
Crescendo - CRAM Rhône-Alpes
http://www.cramra.fr/entreprise/risquesprof/crescendo/crescendo14/cres14_p1.htm

http://www.oqai.fr/ObsAirInt.aspx?idarchitecture=182

Pourquoi la Qualité de l'Air intèrieur ?


Air intérieur pollué :
les causes et les conséquences pour l'homme

Des gaz ou particules solides (poussières, fumées), ayant des concentrations et durées de présence suffisantes pour créer un effet toxique dans l'atmosphère, génèrent une pollution de l'air. Aux polluants primaires s'ajoutent des polluants secondaires qui se forment au contact les uns des autres, par réactions chimiques avec d'autres composants de l'atmosphère qui dépendent des conditions locales de température, d'hygrométrie ...
Source : OFFICIEL PREVENTION
http://www.officiel-prevention.com/
Les fibres
En hygiène et sécurité, le terme "fibre" désigne une particule allongée dont la longueur est au moins trois fois supérieure au diamètre. Cette partie concerne les fibres qui peuvent être inhalées et se déposer dans le poumon jusqu'aux alvéoles pulmonaires. Il s'agit des fibres ayant un diamètre inférieur à 3,5 microns (1 micron = 1/1 000 mm), moins du dixième de l'épaisseur d'un cheveu. Les fibres peuvent être classées selon leur nature chimique : elles sont soit organiques (à base de carbone et d'hydrogène), soit inorganiques.
Leur principale "porte d'entrée" dans le corps est l'appareil respiratoire. Elles ne passent pas à travers la peau.
  • Fibres organiques
    - Fibres naturelles : cellulose, coton, lin, chanvre, soie, laine
    - Fibres synthétiques : aramides, polyester, polyvinylalcool, polypropylène, polyéthylène, polyamides
    - Fibres artificielles: viscose, acétate de cellulose
  • Fibres inorganiques
    - Fibres naturelles : amiante, wollastonite, sépiolite
    - Fibres synthétiques : laines d'isolation, fibres céramiques réfractaires, fibres à usage spécial, fibres de carbone, fibres d'alumine, whiskers, basalte
Plus les fibres sont fines et longues, plus elles pénètrent profondément dans le poumon, plus l'organisme a des difficultés à les éliminer et plus elles sont dangereuses. La proportion de fibres inhalées puis éliminées par l'organisme dépend de leur composition chimique, de leurs dimensions, de l'état de santé de la personne… Une partie peut persister un certain temps, voire migrer vers d'autres organes
Selon leur composition chimique ou la présence d'additifs (liants, etc.), les fibres peuvent provoquer des allergies cutanées ou respiratoires. Leur inhalation peut entraîner des réactions inflammatoires au niveau des bronches et des alvéoles. En cas de migration jusqu'à la plèvre (enveloppe du poumon), elles peuvent provoquer une pleurésie. A la suite d'expositions répétées à certaines fibres, une fibrose pulmonaire peut survenir (transformation du tissu pulmonaire qui conduit à une insuffisance respiratoire). La présence de fibres dans les cellules peut perturber les divisions cellulaires et entraîner des mutations de gènes. A long terme, elles peuvent provoquer des cancers, principalement au niveau du poumon et de la plèvre

 
Source : INRS – Dossier "Les fibres" 
www.inrs.fr/dossiers/Fibres.html

Produire son eau potable ...?

Le fabricant Néerlandais Rainmaker à trouvé une solution innovante: 

                                                     Turbine AW 75


Rainmaker Turbine AW 75 peut produire jusqu'a 7 500 Litres d'eau potable par jour à partir de l'air..
http://en.wind-turbine-models.com/turbine/648/dutch-rainmaker/aw-75

14/11/2013

INTERNATIONAL : Un centre d'excellence sur l'eau à Québec


Pionnière dans la démarche d’Aquaresponsabilité , la ville de Québec est exemplaire en matière de gestion d’eau potable, de protection des prises d’eau potable et de construction de bassin de rétention.
Cette expertise, conjuguée à celle de l’étranger,  va être mise en commun dans le projet de nouveau centre d’excellence sur l’eau et le développement durable.
Véritable carrefour ou des experts des milieux universitaires, publics, parapublics et privés pourront échanger et travailler à développer des solutions spécifiques et innovantes.
La ville de Québec sera le laboratoire d’application de ces nouvelles technologies dans l’objectif de les diffuser dans le monde.

29/10/2013

LA JOURNÉE BLEUE DE L'IPB


établissement aqua-responsable

18 avril 2013 de 10h à 17h - bât. A ENSCBP
Première école d’ingénieurs triplement certifiée Qualité-Sécurité-Environnement depuis 2005, fortement engagée dans le développement durable, l’ENSCBP organise la seconde édition des Journées bleues et l’étend à l’ensemble de l’IPB. 
L’objectif de ces journées est de sensibiliser le grand public, les élèves et les personnels de l’IPB aux problématiques liées à l’eau. 
Des animations scientifiques, ludiques ou sportives permettront de découvrir l’eau sous toutes ses formes. Les ambassadeurs de l’eau formés en 2012 participeront à l’animation de la journée. 
Pour l’édition 2013, les communes de Pessac et Talence proposeront des conférences démontrant ainsi le lien fort entre le site universitaire et les villes.
Le SMEGREG, syndicat mixte d’études et de gestion de la ressource en eau de Gironde, proposera également une conférence. 

Programme 
////// CONFERENCES :  amphi 1 - durée : 45 min
- L’eau et les espaces verts Mairie de Talence
 Intervenant : M. Jehl, directeur du service environnement et paysages, ingénieur territorial à 10h15 et 15h30
- Les économies d’eau : un véritable défi pour tous les Girondins !
SMEGREG Intervenant : M. de Grissac - à 11h et 14h45
- Gestion sanitaire de l’eau ICSE Intervenante : Mme BOUSCAREN, Chargée d’affaires, avec La participation de M. Donneger du Conseil Général de la Gironde - à 11h45 et 16h15
- Le côté sociétal de l’eau, c’est quoi pour une commune ?
-Mairie de Pessac Intervenante : Mme Martin de la Plateforme des services aux publics de Saige à 14h 
/// ATELIERS : dans le hall - toute la journée
- Au fil de l’eau ENSCBP salle S0.06
- Eko d’eau EC’EAU VOG Intervenante : Mme Michel
- Goûter d’eau ENSCBP
- Splash ! ENSCBP

28/10/2013

Améliorer la qualité de l’air intérieur


Sous l’impulsion et le pilotage des ministères en charge de la Santé et du Développement durable, un plan d’actions sur la Qualité de l’air intérieur vient d’être mis en place, reprenant les préoccupations exprimées lors de la table ronde Santé-Environnement de la Conférence Environnementale de septembre 2012. Ce plan prévoit des actions à court, moyen et long terme afin d’améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos, associant d’autres ministères et partenaires dans sa mise en oeuvre.
Plan national pour la qualité de l’air intérieur : mesures phares du nouveau plan
Parmi les actions phares de ce plan, on pourra noter :

·       Le lancement d’une campagne d’information vis-à-vis du grand public en matière de qualité de l’air intérieur qui permettra de rappeler les consignes de base, lutter contre les idées fausses, et faire connaître l’étiquetage de certains produits. Un outil web d’auto-diagnostic permettra aux particuliers d’évaluer la qualité de l’air dans son logement ;

·       Le lancement d’une campagne d’information à destination des professionnels de santé sur les impacts sanitaires de la qualité de l’air intérieur, et le renforcement de la formation de ces publics sur cette thématique ;

·       Un travail sur l’information et l’étiquetage pour différents produits susceptibles d’émettre des polluants dans l’air intérieur, tels que produits désodorisants (encens, bougies et masquants d’odeur) et produits d’entretien. Une attention particulière sera portée aux meubles pour enfants ;

·       Des actions pour la qualité de l’air intérieur dans les métros.

·       Le renforcement du volet qualité de l’air intérieur dans l’ensemble des dispositifs existants sur la performance énergétique des bâtiments (labels, certifications), une mobilisation sur la qualité de l’aération-ventilation, et dans les formations des professionnels du bâtiment.

Ainsi, conformément aux engagements du Premier Ministre lors de la conférence environnementale de septembre2012, le plan de rénovation thermique des logements s’accompagnera d’une grande vigilance sur la qualité de l’air intérieur.

Mesures récemment lancées
Le cadre législatif prévoit la mise en place d’un dispositif de surveillance de la qualité de l’air intérieur dans les lieux accueillant des enfants.

La première échéance concerne les crèches et les écoles maternelles qui devront avoir réalisé pour la première fois la campagne de mesures avant le 1er janvier 2015. Cette mesure concerne 3 polluants importants et présents dans nos locaux 
- Le Formaldéhyde
- Le benzène
- Le dioxyde de carbone

Ce dispositif est une véritable opportunité pour améliorer le bien-être de nos enfants et réapprendre les gestes simples comme aérer régulièrement.

Par ailleurs, depuis le 1er septembre 2013, tous les matériaux de construction doivent porter une étiquette indiquant leur niveau d’émissions polluantes dans l’air. Cet étiquetage permettra aux consommateurs mais aussi aux collectivités et grandes entreprises de choisir les matériaux les plus sains du point de vue de la qualité de l’air intérieur.

La qualité de l’air intérieur était l’un des thèmes des 2èmes  assises nationales de la qualité de l’air (Octobre 2013)


Source : Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie.


21/10/2013

Le chiffre du jour 90%


des citadins européens sont exposés à des niveaux de pollution jugés dangereux pour la santé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

La pollution atmosphérique classée cancérigène

L'information était en grande partie connue, mais n'avait encore jamais officiellement repris par l'Organisation mondiale de la santé. 

C'est chose faite depuis hier, avec la décision du Centre international de recherche sur le cancer (IARC) à Lyon, une agence spécialisée de l'OMS, de classer la pollution de l'air extérieur, et notamment les matières dites "particulaires", comme cancérigène "certain" pour l'homme. "Classer la pollution atmosphérique comme cancérigène est un pas important", a commenté le Dr Christopher Wild, directeur de l'IARC, dans un communiqué. 

"Il existe des moyens efficaces de réduire cette pollution et, compte tenu du degré d'exposition des populations dans le monde, ce rapport devrait envoyer un signal fort à la communauté internationale de façon à ce que des mesures soient prises sans délai". Selon lui, environ 10% des cancers du poumon sont ainsi liés à des causes comme la pollution de l'air, ajoute le journal La Tribune

Pour l'instant, les données n'ont pas permis d'établir si un groupe particulier de la société (femmes ou hommes, jeunes ou âgés) était plus vulnérable. Mais "les personnes les plus exposées (à l'air pollué) sont les plus vulnérables", a relevé le docteur Straif, du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). 

Les études montrent également que ces dernières années, les niveaux d'exposition à la pollution atmosphérique ont augmenté significativement dans certaines régions du monde, en particulier dans les pays largement peuplés et à croissance industrielle rapide, comme la Chine. 

NDLR : Les impacts de la qualité de l’air sont aujourd’hui reconnus. Ils concernent les contaminants des différentes atmosphères dans lesquelles nous respirons et notamment l’air des habitations, des bureaux, des bâtiments,…

Source : Revue de presse « pharmaceutiques « (18 octobre 2013)

14/10/2013

LES PRÉLÈVEMENTS RÉPONSE IMMÉDIATE ET RECHERCHE SUR LE LONG TERME



Les gaines d’aération ont longtemps été le «parent pauvre» de la construction. On y trouve ainsi une multitude de gravats, poussières, ou autres éléments plus insolites.
Nous passons en moyenne 20 heures sur 24 en milieu fermé: l’air que nous respirons passe presque exclusivement par les gaines d’aération.
Un bâtiment peut contenir des bactéries, des virus, des moisissures, des champignons, des acariens, ou des composés organiques volatiles (COV). Tous ces polluants dégradent la qualité de l’air et dont les effets nocifs sur la santé sont avérés : maux de tête, fatigue, irritation du nez, de la peau ou des poumons, asthme et autres problèmes respiratoires, etc...
Nous faisons appel à nos partenaires universitaires et privés pour analyser les prélèvements que nous effectuons. L’expérience acquise et l’ensemble des études réalisées auprès d’experts reconnus nous permet d’apporter une réponse préventive à la pollution de l’air intérieur réponse à l’enjeu de santé publique et à la législation actuelle et à venir.

Professeur en Microbiologie Industrielle, Environnement & Hygiène, Attachée des Hôpitaux et des Facultés de Pharmacie de Toulouse, vice présidente de la Fondation pour le développement et la recherche pharmaceutique (FONDEREPHAR).

« La collaboration avec Kel’air s’effectue de longue date dans le cadre de la FONDERE-PHAR. Les analyses microbiologiques de l’air et des surfaces nous fournissent un apport à la fois scientifique et technique. Grâce à la diversité des lieux d’intervention de Kel-air 

- Le tertiaire, l’industrie ou les hôpitaux par exemple
 
Nous accumulons des connaissances sur les micro Organismes isolés de ces sites, dont nous effectuons un suivi sur le long terme. Ces connaissances sont à la fois qualitatives (espèces microbiennes rencontrées) et quantitatives (taux de micro - Organismes). Sur le plan technique, cette collaboration nous a amenés à enrichir nos connaissances en terme d’identification des moisissures environnementales, identification essentiellement basée sur l’étude morphologique en microscopie optique






De 0,7 À 1,7 Milliard d'euros ........


Le chiffre du jour

C'est le coût annuel de la pollution de l'air au système de soins en France, selon le Commissariat général au développement durable (CGDD).


La pollution de l’air est à l’origine de maladies de l’appareil respiratoire qui entraînent des dépenses prises en charge par le système de soin : consultations, soins, médicaments, hospitalisations, indemnités journalières... C’est ce coût pour le système de soin que l’étude a évalué pour un total situé entre 0,8 et 1,7 milliard d’euros par an. Pour être complet, ce niveau déjà élevé de coût serait à majorer d’autres dépenses qui n’ont pu être chiffrées (transport sanitaire, consultations et examens en médecine de ville,…).

L’étude a déterminé, d’une part, les coûts liés à chaque cas des maladies concernées, ce qui nécessite, outre une approche économique, une approche médicale de la maladie, et d’autre part, ce qui est attribuable à la pollution parmi l’ensemble des cas d’une maladie.

La maladie la plus coûteuse est l’asthme, dont la part attribuable à l’environnement reste incertaine. Viennent ensuite les bronchites aiguës qui concernent aussi un grand nombre de cas, puis les bronchites chroniques, les broncho-pneumopathies chroniques obstructives et les cancers des voies respiratoires. Les épisodes sévères de pollution ou l’exposition chronique de personnes sensibles sont aussi la cause de nombreuses hospitalisations.

La pollution de l’air est à l’origine de maladies de l’appareil respiratoire qui entraînent des dépenses prises en charge par le système de soin : consultations, soins, médicaments, hospitalisations, indemnités journalières... C’est ce coût pour le système de soin que l’étude a évalué pour un total situé entre 0,8 et 1,7 milliard d’euros par an. Pour être complet, ce niveau déjà élevé de coût serait à majorer d’autres dépenses qui n’ont pu être chiffrées (transport sanitaire, consultations et examens en médecine de ville,…).

L’étude a déterminé, d’une part, les coûts liés à chaque cas des maladies concernées, ce qui nécessite, outre une approche économique, une approche médicale de la maladie, et d’autre part, ce qui est attribuable à la pollution parmi l’ensemble des cas d’une maladie.

Commissariat général au développement durable
Le point sur - Numéro 176 - Octobre 2013 



www.kelair.fr
 


 

10/10/2013

Prévoir pour agir : la région aquitaine anticipe le changement climatique


Le récent rapport scientifique coordonné par Hervé LE TREUT décrit les enjeux du changement climatique pour l’Aquitaine, les défis pour les ressources, les activités et la qualité de vie dans la région.

Les enjeux sont d’ordres sociétaux (vulnérabilité face au changement climatique) et économiques (évaluation des impacts du changement climatique).

L’air, l’eau, les risques sanitaires font l’objet de chapitres très documentés et de recommandations. A titre d’exemple, les enjeux de la qualité de l’air sur la santé des populations sont soulignés.

Nous reprendrons prochainement les différents points de ce rapport. 
Bien évidemment, l’eau restera notre base de discussion. Néanmoins, à l’avenir, nous souhaitons élargir nos propos dans une approche plus globale du changement climatique

       Ce blog réactualisé intègrera aussi une  nouvelle dimension internationale.

07/10/2013

Vous respirez quel air ?



Contamination particulaire de l’air

L’air extérieur contient des particules inertes de nature minérale ou organique, dont l’origine est liée au fonctionnement des écosystèmes et aux activités de l’homme : il convient d’en tenir compte dans la mise en œuvre des installations.
Concentration en particules pour ville moyenne  : 0,1 mg/m3
A l’intérieur des locaux, la quantité de particules dans l’air est fortement augmentée du fait de la production liée à diverses installations, au re-largage par les textiles et matériaux, et du fait de l’émission par l’homme en fonction de son activité.
Chaque individu dissémine dans l’environnement, dans l’air, un nombre de particules donnant naissance à une colonie (pnc) variable de 1 000 à 10 000 / mn.

Contamination microbienne de l’air
L’air extérieur contient des particules vivantes, en particulier des levures, moisissures et bactéries, ainsi que de nombreux pollens, en quantité variable selon les saisons, les vents, et les activités agricoles.
Moisissures  : quelques centaines / m3 d’air
Bactéries :       200    à    1 500        / m3  d’air
A l’intérieur des locaux, l’homme est le principal producteur de microorganismes : des valeurs de contamination extrêmement élevées sont observées dans des espaces clos, mal ventilés et accueillant un nombre élevé de personnes, même calmes.
Plus l’activité s’accroît, plus l’aérobiocontamination augmente, ce phénomène pouvant être plus ou moins masqué par l’importance de la ventilation et du renouvellement de l’air. 

La règlementation s'adapte en fonction des typologies d'établissements 
ERP, Santé, Tetiaire, Industriels .....